Mercredi 6 mars 2024 sur la côte sauvage de l’Île d’Oléron. Les banches (appellation locale des strates calcaires dégagées par l’érosion) sont ourlées par l’écume des vagues de la marée descendante. Un filtre Gris Neutre pour des poses d’une vingtaine de secondes et un trépied 😉 Résultat: quelques clichés auxquels je trouve un côté onirique !
Onirique est le terme parfaitement adapté.
J’ajoute envoûtants pour certains clichés.
Merci Marc
Merci pour la visite ET le commentaire ! Le seul petit problème c’est que mon hébergeur ne m’a pas prévenu de l’arrivée des 4 derniers commentaires. J’ai donc failli passer à côté. C’eut été dommage pour moi et impoli de ne pas répondre ! 🙁
Bonjour Marc,
J’espère que vous allez tous bien.
Merci pour ces moments de douceurs océanes, j’adore toujours.
Régale nous encore de tes points de vue, de tes recherches photographiques, de tes curiosités…
Bises
Denis
Merci Denis ! Tout le monde va bien… A bientôt peut-être autour d’un verre. Un chacun !!!!!!
oui onirique
et parfois inquiétant..ou mélancolique
Intéressant pour sûr
Oui, il y a une ambiance un peu dramatique et donc mélancolique en lien avec le traitement de la lumière… J’espère n’être pas trop inquiétant ! 😉
Magnifique féerique
Je ne me lasse pas des poses longues qui apportent dans des cas bien choisis une autre lecture de la réalité et du temps. On a presque un traitement statistique des phénomènes. J’ai calculé que certaines poses longues sont jusqu’à 5000 fois plus longues qu’un instantané classique (20 secondes vs 1/250ème de seconde) !